Quel soulagement d'avoir à nouveau Joar à tes côtés, tu le croyait mort, depuis six longues années, Freya. Et le voilà devant toi, fait de chair et d'os, tu peux à nouveau t'abandonner dans ses bras, l'écouter des heures durant, lui venir en aide à ton tour, tu y prends goût non ? Lui l'homme qui brille en société avec son sale caractère, et toi l'érudit terrée dans ton petit trou de souris. La veille, tu es restée dans ta chambre -seule- échangeant tout de même bien des SMS avec ton jumeau, afin de t'exercer avec ton pouvoir, qui n'est autre que la télékinésie. Comme souvent, tu tombes de fatigues, là sur le moelleux de ton matelas, entourée de livres ouverts, semblable à un petit ange. Mais Morphée n'est pas toujours tendre avec toi, blondie. Tout recommence, là derrière tes paupières closes -encore et encore- tu entends la voix de votre maman t'annonçant que plus jamais tu ne reverras ta moitié. Puis les cris. Les tiens, aussi sourds soient-ils, et ceux bien plus colériques de votre mère. Et puis, les hurlements laissent place aux coups, à la violence, chaque jour un peu plus, chaque jour une nouvelle torture. Chaque jour un pas de plus vers l'Enfer. Et tu te réveilles, en sursaut, à bout de souffle, les livres tantôt ouverts retombent lourdement au sol. Tu as besoin d'air. Alors, sans plus tarder, tu te redresses, courant à vive allure à travers les couloirs des dortoirs. Comme si ta vie en dépendait. Quittant celui des demoiselles pour les chambrés garçonnes, tes joues bordées de larmes virevoltantes. Une fois dans l'appartement de Joar, tu t'introduis aussi discrètement que possible dans sa chambre, te glissant sous sa couette, blottie dans ses bras.
Et même si tu trembles comme une feuille morte, tu sens un baiser sur le sommet de ton crâne, mais rien ne passe la barrière de tes lèvres, déposant seulement ta joue sur le coussin. Laissant tes prunelles céruléennes se promener sur son faciès, la pulpe de tes doigts replaçant une mèche par-ci par-là, gâtant parfois l'une de ses pommettes. Tu fermeras les yeux quelques heures à peine, ne te lassant pas d'admirer l'homme merveilleux qu'est ton frère. Et voyant le soleil s'élever lentement, tu te redresses et pique au moins un t-shirt au brun, et quelques affaires t'appartenant. Ton but ? Prendre une douche, avant que tout le monde ne se réveille, et une vingtaine de minutes te suffisent pour ressortir de la avec seulement ledit haut de ton jumeau, et point de bas si ce n'est que ton boxer. Dans la petite cuisine des lieux, tu t'affaires a préparer un petit déjeuné royal pour vous, pour tout un régiment ne sachant pas exactement combien de personnes sont présentes. Et il ne vaux mieux pas, tu risquerais d'être mal à l'aise, cela sera déjà suffisamment difficile de te faire partager un repas. Mais en attendant du bruit, tu te retournes et tombe nez à nez avec un grand brun frisé, dans une tenue fort... Et bien, voilà un caleçon à froufrous fort surprenant. Tu rougis, et détournes ton visage, semblable à une pivoine. « Je... Euh... Pardon. Je suis désolée. » Tu te complais d'excuses, avant de fuir à nouveau dans la chambre de ton jumeau, claquant la porte derrière toi sans ménagement. Pinçant tes lèvres, la panique se lit comme la plus limpide des eaux dans tes iris, et Joar c'est déjà redressé en devinant ta propre détresse. « Y a un de tes coloc... Je sortirai pas Joar ! Je vais rester dans ta chambre ! » Oh non, que tu ne resteras pas ici, penses-tu vraiment que le géant te dépassant de presque trente centimètres va te laisser faire ? Résolu le temps des secrets.
Et après une discussion pesant le pour et le contre, bien que le choix ne soit que de sortir, ou sortir de là... Tu le suis, restant cachée là derrière lui, agrippant la peau de son dos de la pulpe de tes doigts. Tu penches finalement ton faciès pour voir le frisé se tenir là, un peu bête de par ta réaction. « Joar... » Dis-tu en chuchotant, plus que mal à l'aise. « Je peux retourner dans la chambre maintenant, hein ? » C'est peine perdue, Freya. Mais tu essaies, encore et encore. Et quand le second homme s'approche, tu continues de te cacher, pivotant autour de ton jumeau jusqu'à finir par te cacher là dans ses bras, plaquant sans vergogne son nez contre son torse encore dénudé. « Faite comme si j'étais pas là... Pitié. » Et tel le petit koala que tu es, tu te hisse, nouant tes jambes autour de ses hanches, tes bras autour de son cou, pour y enfouir tes traits si délicats et empourprés. Tirant d'une main sur le t-shirt avant que ton fessier ne se fasse pas voir. La situation est cocasse -pour sûr- mais tu ne sais pas comment réagir, et tu aimerais disparaître, tu veux retourner dans une pièce où seul Joar peut y accéder. « Je peux manger après, hein Joar ? » Demandes-tu en lui lançant un regard de petite souris apeurée. Là aussi, tu as l'espoir qu'il t'accordes cette faveur ? C'est beau de rêver, Princesse.
️Miss Pie
Freya Jensen
Freya Jensen
Age : 20 Messages : 40 Localisation : Alfea Emploi/loisirs : Etudiante en 1ère année
Freya Jensen
Mer 5 Mai - 6:48
An Unusual Trio
ft. Les plus beaux Jumeaux.
Voilà plusieurs jours où Liam était arrivé à Alfea et que dire de cet endroit ? Il ne le voyait plus en centre de détox, c’est déjà une amélioration. En Asile par contre il hésite encore parce qu’il a vu d’autres tarés que lui en cours et il est sûr qu’il s’en cache encore. Depuis le début il reste tenailler entre l’envie de partir pour faire chier son géniteur et l’envie de rester pour découvrir ce monde qui lui était inconnu, c’est comme si toute son âme vibrait quand il était ici et rien à voir avec les moments où il est défoncé, même la plus forte des drogues ne lui a jamais fait voir ce qu’il voit ici.
Des gens avec des pouvoirs de pokemon, comme l’autre Caraput..ce pardon. Son professeur de créatures magiques, c’est un vrai pistolet à eau ambulant. Il n’a pas encore découvert tous les pouvoirs qui existaient mais plus il en découvre et plus… Il est jaloux, jaloux de leur badass attitude alors que lui il se change juste en version plus vieille ?! D’après son professeur de Spécia… Euh… Il a oublié, mais il a retenu qu’il pourrait peut-être un jour se changer en d’autres personnes, en animaux et même en objet ! Utilité ? Pas ouf, mais ça peut être utile pour jouer des tours aux autres.
On s’éloigne un peu du sujet, mais actuellement il est en plein questionnement existentiel de la vie, dans son lit, fumette au bec (pour pas changer), il s’est pas encore fait à la vie en colocation, déjà quand il vivait avec sa mère c’était compliqué, mais là avec 5 autres mecs qu’il connaissait pas, dont un dans sa chambre, il se demandait pendant combien de temps ils allaient le supporter. Hâte d’avoir le premier drama dans « Les Fées à Alfea ! ».
En parlant de drama, voilà l’épisode un dans la Casa des boulets ! Non parce que Liam il est pas pudique voyez-vous et quand il a terminé un joint, il a toujours la dalle, du coup là, il vient de sortir dans son plus beau caleçon à froufrou rose (il le trouve drôle, cherchez pas à comprendre) il s’est dirigé vers la cuisine de l’appart et là il tombe sur quoi ? Une demoiselle blonde, vêtue d’un grand t-shirt qui cachait à peine sa petite tenue. L’Irlandais se serait bien rincé l’œil s’il n’avait pas reconnu la jeune fille aussi vite…
« OH PUTAIN ! » S’était-il écrié de sa douce voix viril (il a crié aigu avant de fuir en sautillant en gros).
Pourquoi ? Lui qui aimait tant défiler d’habitude. Tout simplement parce que cette fille, elle a un pouvoir sur lui, depuis qu’il l’a vu en cours, encore et encore, il peut pas s’empêcher de passer en mode papa poule bisounours tout gentil, parce qu’elle a l’air SI PURE ! Il a envie de la protéger de son côté débauché et juste de lui tirer les joues gentiment comme une petite vieille. Brr il avait des frissons de dégoût rien que d’imaginer lui en petite vieille. Enfin bref, il s’habilla rapidement, mais en mettant son t-shirt, son cerveau se mit en état de pause, le genre gros bug.
« Attends… Qu’est-ce qu’elle fout là ?! Et dans cette tenue ? Mais… OH ! Y’en a un qui l’a touché ?! » Pensa-t-il en écarquillant les yeux, se dépêchant de se rhabiller pour aller faire la morale au fautif.
Quand Liam se retrouva en face du garçon, il plissa les yeux, cerveau en charge, il avait déjà vu ce mec tourner autour de la petite ange mais jamais il n’aurait pensé ça de lui ! Elle semblait gênée d’être prise sur le fait et quand le bouclé voulu dire quelque chose, elle se transforma en koala, ce qui eu pour effet un « Moooohw trop mignonne » intérieur. Bon allez Liam, le drama va pas se faire tout seul, la chasteté de la blondinette a besoin de toi ! Regard de jugement collé sur son visage, il s’approcha de Joar.
« Comment peux-tu profiter de cette petite chose ? » Demanda-t-il en prenant une nope face.
Manger. Oui, il avait entendu manger.
« Oh ! Tu veux des pancakes ? Je suis un génie des pancakes ! » Expression changée, grand sourire avec une voix comme s’il parlait à un enfant. Liam lui montra la cuisine d’un doigt.
Arya
Liam Brennan
Liam Brennan
Age : 23 Messages : 24 Localisation : Caché quelque part pour fumer tranquillement Emploi/loisirs : Elève (hélas)
Il faut avouer qu'une certaine habitude s'est créée, même ici. Toutes les habitudes qu'on avaient prises lorsque l'on étaient gosses se retrouvent presque instinctivement copié ici. Si je ne suis pas en cours, je suis avec Freya. Je la retrouve bien souvent dans mon lit ou dans ma chambre après un cauchemar. Même si elle ne me parle pas du cauchemars en question, je me doute bien de quoi il s'agit. Je trouverais bien un moyen de lui faire cracher le morceau. Alors ce matin, je ne suis pas surpris en entendant la porte de la chambre s'ouvrir, encore moins quand un petit être se faufile dans mon lit. Je tire la couette pour la laisser s'installer et glisse mes bras autour d'elle. Je ne suis pas complétement réveillé mais pas complétement endormis non plus. Avec notre mère, j'ai appris à faire attention au moindre bruit pour ne pas que l'un ou l'autre n'en prenne pour son grade.
Je n'ouvre pas la bouche parce que je sais bien qu'elle n'ouvrira pas la bouche. Alors, je me contente de la serrer et d'embrasser son front avant de me rendormir comme si je n'avais pas été réveillé par la petite blonde. Et quelques heures après, je suis réveillé par la porte qui claque et mon cerveau peine sérieusement à émerger. Un des colocs. Oui, ça ne m'étonne pas vraiment. Je tourne la tête vers le réveil avant de grommeler une phrase absolument incompréhensible. Même pour moi. Je pousse un profond soupire avant de me redresser pour m'asseoir.
- Princesse, ils sont chez eux, bien entendu qu'il y a mes colocataires...
En espérant que Liam ne se balade pas à poil mais à part ça, rien de bien surprenant à ce qu'il y ait des gens ici. Bon, elle ne sortira pas si je ne sors pas. Evidemment. Je pose mes pieds au sol avant de me lever. Et je suis presque obligé de faire une thèse sur le pour et le contre à ne pas passer sa vie dans ma chambre. Et lorsque je sors enfin, Freya s'accroche à mon dos. Enfin, elle essaye de s'accrocher à ma peau plutôt qu'autre chose.
- Non, Freya..
Freya se met d'ailleurs à tourner autour de moi jusqu'à se mettre en face de moi. Alors, je jure que si elle avait la capacité de disparaitre dans mon corps, elle aurait déjà tenté la chose. Je pouffe de rire, frottant finalement son dos avec douceur. Elle est mignonne. Mais elle me grimpe littéralement dessus et j'ai à peine le temps de la tenir.
- Non mais Freya, préviens ! Un peu plus et tu te retrouvais au sol..
Mais le frisé se méprends complétement sur Freya et moi. Quand il me parle de profiter d'elle, j'arque un sourcil avec lenteur. Ouais, je peux comprendre que ça porte sérieusement à confusion. Mais si Freya n'était pas ma soeur, autant dire que corrompre une innocence pareil, je ne suis pas sûr que ce soit vraiment une chose qui m'irait, aussi jolie soit-elle d'ailleurs.
- Alors, déjà. Je profite de personne, qu'on se le dise. C'est ma soeur, Liam. Et celui qui ose profiter d'elle, je lui rentre un balai dans le cul.
Qu'on se le dise. Et je ne m'arrêterais pas au manche en plus de ça. Je ferais rentrer l'entièreté de l'objet. Avec des débris de verres aussi. J'agite la tête à nouveau quand Freya parle de manger après. Et à ce que je vois, Liam a l'air plus attendrit que n'importe qui. Je tapote finalement l'épaule de Freya tout en ajoutant.
- Non, tu manges avec nous. Pas après. Et puis, Liam te propose des Pancakes, il est pas méchant. Mais je dois te déposer sur tes pieds, chérie. Je peux pas t'emmener avec moi jusqu'au toilette, ce serait chelou...
Autant dire que nous sommes proches mais pas à ce point là, non plus. Je détache alors ses cuisses de mes hanches pour la déposer au sol. Je me penche pour embrasser le dessus de son crâne pour me diriger vers la salle de bain. Je frotte mon visage et m'y enferme à peine quelques minutes avant de faire demi tour. Je repose les yeux sur Liam puis Freya.
- Sinon... Je veux bien des pancakes moi.
On parle bouffe devant moi une fois levé, il ne faut pas s'attendre à ce que j'ai autre chose à la bouche que de la nourriture. Je ne suis pas non plus une grosse bouffe pour un rien. Je frotte mon visage et repose les yeux sur Freya.
- Je vais te prêter un short, pas te balader en sous vêtement comme ça.
Je viens faire demi-tour dans ma chambre et fouille dans mon armoire. Je récupère un short qui dispose d'une ficelle parce que clairement, Freya n'a pas mon gabarit alors soit c'est ça, soit le short est à ses chevilles en deux minutes. Je reviens finalement pour lui tendre avant de me diriger vers la cuisine. C'est que j'ai la dalle moi.
Bah oui, tu devrais prévenir avant de jouer au koala contre le buste de ton jumeau, mais pourquoi ? Ne s'attendait-il pas a ce que tu grimpes ainsi pour te cacher ? Oh que si, il s'y attendait. « Je croyais être un poids plume ! » Râles-tu contre son cou en fronçant les sourcils. Tu n'en a que faire de finir au sol, tu l'as déjà été, tu as été bien plus bas même, les enfers étaient ton royaume lorsque tu vivais encore à Erakylon. Mais les paroles de Liam te font écarquiller les yeux, profiter de cette petite chose, il parle effectivement de toi blondie. Mais il t'as entendu, tu réclames à manger après, non pas que ton appétit quémande son dû, mais plus par habitude, si manger devant Joar ne te poses pas problème, en compagnie de quelqu'un d'autre, c'est une autre affaire. Et l'idée des pancakes est fort alléchante, à ne pas en douter, tu dirais follement oui pour cela, mais ta timidité maladive t'en empêche. Et diaaable, tu es sa soeur, le dénommé Liam pensait vraiment qu'une sordide histoire d'amour se cachait derrière vos agissements ? Mais la mise en garde du géant te fais doucement sourire, parce qu'il est ton protecteur, même si loin de toi l'idée de partager la couche d'un autre homme pour le moment. Tu tapotes son épaule face à la grossièreté, réflexe inutile, seulement là pour l'embêter plus qu'autre chose, parce que tu aimes aussi, dans ta malice, le voir chercher une toute autre façon de désigner cela. Mais ce semblant de joie te quittes aussi rapidement que l'éclair dans un ciel obscurcit. Tu mangeras avec eux. Ton souffle se bloques sous la surprise, ou plutôt, sous la panique qui t'envahit.
Tu n'as au grand jamais partagé un véritable repas, attablé en famille. Non, toi, tu étais cloitrée au sous sol, privée de la lumière du soleil, privée d'une vie qui aurait pu faire de toi une personne extraordinaire. Et les seuls moments de joie que tu as connu n'étaient autres qu'en compagnie de ton jumeau, lorsqu'il bravait les interdits. Menant son repas et le tiens dans ton antre, afin de grignoter ensemble, surtout lorsque tu ne finissais pas ton assiette, et que lui se faisait un malin plaisir à le faire à ta place. Mais voilà, Liam te proposes des pancakes, et il t'assures que le frisé n'est pas un homme de mauvaise foi. Et... Et comment ça, tu dois quitter l'arbre sur lequel tu es perchée !? Non, non. Oh, il doit se rendre aux toilettes, et vous y rendre ensemble serait fort étrange, c'est le cas de le dire. Mais jamais bien rassurée d'être livrée à toi-même en compagnie de quelqu'un que tu connais à peine. Oui, vous vous croisez dans certains cours, mais il te faut du temps, peut-être même trop, avant de baisser les murs érigés dans la violence autour de ton petit être frêle. Tu n'as pas le choix, parce que les mains de Joar glissent déjà sur tes cuisses se libérer de ton emprise, et une fois tes petons au sol, un baiser furtivement déposé sur le sommet de ta chevelure dorée, tu le regarde s'enfuir en direction de la salle de bain. Tu as un regard plus que terrifié, et en te tournant vers le grand frisé tu pinces tes lippes, tu ne sais pas quoi faire, jouant avec le tissus recouvrant ton buste. « Je suis désolée pour tout ça. » Dis-tu d'une petite voix.
Mais le revoilà le géant sur son mètre quatre-vingt huit, et naturellement tu t'approches, dans un mauvais réflexe qu'il faudra bien que tu perdes un jour où l'autre. Son exclamation ne te surprends pas, et tu souris à cela, détendant un peu tes traits, dévoilant là le petit ange -pourtant brisé- que tu es. Joar, l'éternel estomac sur pattes ! Tu croises son regard, et lorsqu'il te proposes de te prêter un short afin de ne pas laisser ton boxer visible, et par automatisme, tu tires sur ton haut en hochant rapidement ton faciès. Et une fois ledit vêtement enfilé, tu retournes dans la cuisine et regarde Liam, discrètement. « Est-ce que... Tu veux de l'aide pour les pancakes ? » Mais regardes-toi, tu es déjà en train de finir ce que tu faisais, c'est à dire ? Et pis, tout pour filtrer du café, et de quoi infuser ton thé. Mais en partageant la pièce, tu heurtes malencontreusement ton co-équipier de la matinée. Tu recules par réflexe, paniquée, tes mains tremblantes s'agitant face à lui. « Pardon, je suis vraiment désolée. » Pourtant, il n'y a rien de casser, rien de renversé, mais c'est plus fort que toi. Et une fois tout de prêt, tu t'installes à côté de ton jumeau autour de la table, reposant tes pieds sur la chaise afin de serrer tes jambes contre ta poitrine. Tu souris, dans ta timidité, face au pancake arborant la douce forme d'une licorne, mais tu n'y touche pas pour autant, jetant des regards vers les deux colocataires. Il va falloir faire face aux questionnements, et à l'éternel frère surprotecteur qui te diras que tu mangeras, ici même, en leur présence.
️Miss Pie
Freya Jensen
Freya Jensen
Age : 20 Messages : 40 Localisation : Alfea Emploi/loisirs : Etudiante en 1ère année
Accueil 
Mer 5 Mai - 4:26
️Miss Pie
